J'accompagne régulièrement des personnes qui veulent changer de métier.
Parfois, c'est à l'occasion de la rupture du contrat de travail, souhaitée ou non.
Parfois, c'est suite à un burn-out.
Parfois, c'est parce qu'on sent qu'on a fait le tour de son métier, et qu'on prépare son départ vers de nouvelles aventures.
Parfois, c'est parce on franchit un cap : comme si à 40 ans (ou 50), on pensait "il est temps de faire autre chose".
Parfois, c'est le confinement de 2020 qui a été l'occasion d'y penser, d'avoir envie.
Et parfois aussi, malgré une certaine envie de changement, on a tellement peur qu'on cherche à ne pas changer. On voudrait surtout se rassurer pour garder son métier.
Bien se connaître, c'est un préalable indispensable à toute décision.
L'accompagnement du coaching, c'est une réflexion sur vos valeurs, sur les conséquences de faire ou de ne pas faire, sur ce qui compte pour vous.
Bien sûr tout le monde est capable de faire ce genre d'introspection.
Mais dans les faits, je constate souvent qu'on tourne en rond en y réfléchissant seul·e.
Un questionnement extérieur et neutre permet de se poser les bonnes questions, toutes les questions, de peser, de trancher, de planifier.
Et puis il y a les freins : ceux que la vie nous impose, mais aussi ceux que nous nous imposons à nous même, souvent sans en avoir conscience.
Le coaching, c'est aussi une occasion de voir ces freins, de les identifier, de les lever quand ils dépendent de nous. Pour enfin se sentir capable de passer à l'action.
Quelquefois, il arrive qu'un·e client·e ne change rien en apparence. Mais ce n'est qu'une apparence.
Le coaching apporte systématiquement des changements.
Peut-être plus subtils, plus qualitatifs.
Et parfois on ne change finalement pas de métier parce qu'il nous convient.
Mais on va changer de façon de l'envisager, de façon de l'exercer, et peut-être "juste" changer d'employeur... et c'est peut-être ce qui conviendra le mieux.